Liste de préparatifs de déménagement pour les étudiantes et étudiants de première année
Par Études universitaires
L’entrée à l’université est une aventure palpitante, surtout lorsque cette nouvelle étape a lieu dans une ville canadienne. Mais avant de vous amuser à rencontrer de nouvelles personnes ou à assister à votre premier cours magistral, il vous faut réaliser une tâche cruciale : vos boîtes de déménagement! Voici donc la liste ultime des choses à apporter avec vous ainsi que quelques conseils personnels pour commencer cette grande aventure du bon pied.
Documents importants
Avant toute chose, vous devez vous assurer d’apporter vos documents importants, soit votre carte d’identité, votre passeport, votre carte d’assurance-maladie, votre carte étudiante, vos lettres d’admission et vos documents médicaux, au besoin. Conservez-les dans un dossier sécurisé et facilement accessible.
Literie et couvertures
Les résidences étudiantes fournissent habituellement les matelas, mais il revient aux locataires de rendre leur lieu de vie confortable. Apportez quelques ensembles de drap (après avoir vérifié la taille du lit au préalable), un édredon bien chaud, des oreillers ainsi qu’un surmatelas ou protège-matelas. N’oubliez pas d’apporter quelques couvertures chaudes; il peut faire froid en résidence!
Articles pour la lessive et la salle de bain
En plus de votre literie, pensez à apporter un panier à linge et du détergent à lessive. Pour la salle de bains, des serviettes et des débarbouillettes seront nécessaires. Peut-être vous faudra-t-il également un bac de rangement pour transporter vos articles de toilette? N’oubliez pas vos médicaments et les articles d’hygiène personnelle que vous utilisez régulièrement.
Vêtements et chaussures
Comme vous savez déjà que la météo au Canada peut être imprévisible, il est essentiel d’apporter des vêtements pour toutes les saisons : des manteaux chauds, des vêtements imperméables, des chandails, des t-shirts, des jeans et des chaussures confortables. N’oubliez pas des sandales de plage pour les douches communes ainsi que quelques ensembles plus chics pour les occasions spéciales.
Fournitures scolaires
Vous êtes ici pour les études, alors aussi bien se préparer en conséquence. Faites le plein de cahiers de notes, de cartables, de stylos, de crayons, de surligneurs, de papillons adhésifs et de fiches. Il est aussi essentiel d’avoir un ordinateur portable ou une tablette pour prendre des notes et faire ses travaux. Un agenda ou un calendrier peut également vous aider à respecter vos échéances. Petit conseil : Apportez un sac à dos ou un fourre-tout robuste et confortable à porter avec lequel vous pourrez transporter vos livres sur le campus. Il peut aussi être utile d’apporter une clé USB ou un disque dur externe pour sauvegarder vos fichiers importants.
Articles de toilette et d’hygiène personnelle
Apportez tous les articles de toilette essentiels : brosse à dents, dentifrice, shampoing, revitalisant, savon et produits de soin de la peau. Une trousse de premiers soins contenant des pansements adhésifs, des analgésiques et d’autres articles essentiels peut aussi être utile. N’oubliez pas vos médicaments d’ordonnance et une bouteille d’eau réutilisable. Pensez aussi à mettre dans vos boîtes des masques pour le visage et du désinfectant pour les mains.
Articles de cuisine
Même si vous prévoyez manger à la cafétéria de l’université, il peut être utile d’apporter quelques articles de cuisine comme une bouteille d’eau réutilisable, une tasse à café, un bol pouvant aller au micro-ondes, une assiette, des ustensiles et quelques collations. Certaines résidences étudiantes permettent aux locataires d’avoir un réfrigérateur compact, très pratique pour garder les aliments et les boissons au frais. Une petite bouilloire ou cafetière peut être utile lors des soirées d’études.
Gadgets électroniques et chargeurs
Les appareils électroniques sont indispensables en cette ère numérique. En plus de votre ordinateur portable, apportez votre téléphone, vos chargeurs et un bloc multiprise avec protecteur de surtension. Des écouteurs à suppression de bruit peuvent être d’excellents compagnons d’études, et un haut-parleur Bluetooth peut mettre de la vie dans votre logement. Et n’oubliez pas un câble HDMI pour brancher vos télévisions ou projecteurs.
Articles de décoration
Faites de votre logement en résidence votre nouveau chez vous pour la prochaine année. Ajoutez à vos boîtes des photos de votre famille et de vos proches, des affiches, des guirlandes de lumières ou tout objet qui saura ajouter une touche personnelle à votre nouvel espace. Ces articles, bien que petits, vous apporteront du réconfort lorsque la maison vous manquera. Notez également que bon nombre de résidences exigent l’utilisation de bandes ou de crochets adhésifs amovibles pour accrocher les cadres. Pensez à apporter des cintres et des accessoires de rangement pour organiser votre garde-robe.
Bien que ces articles soient essentiels, il est tout aussi important d’apporter quelques objets qui sauront vous apporter du réconfort et vous rappeler la maison. Votre photo de famille préférée, une couverture douillette ou même une petite plante sauront faire de votre espace votre deuxième chez vous. Faire ses boîtes de déménagement pour l’université peut sembler une tâche titanesque, mais cette liste est votre outil pour bien vous préparer à tout ce qui attend. Et n’oubliez pas, il est toujours possible d’aller chercher plus tard les articles que vous avez oubliés!
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Par Bianca McKeown et Olivia Grandy, Université Carleton, baccalauréat en journalisme 2025
Vous n’avez finalement pas obtenu de place en résidence. Quelles formules pouvez-vous envisager pour vous loger?
Bien des étudiantes et étudiants choisissent de vivre hors campus après leur première année d’université.
Si c’est votre cas, vous pouvez envisager quatre grandes possibilités : aller vivre avec des camarades, devenir colocataire d’une personne que vous ne connaissez pas déjà, louer votre propre appartement ou louer une chambre dans une maison.
Prenez le temps de bien lire la page Web de votre université consacrée au logement hors campus, car l’éventail des possibilités varie grandement d’une ville à l’autre. Voyez par exemple comment se comparent les pages de l’Université de la Colombie-Britannique et de l’Université McGill.
Avant de décider quelle formule répond à vos besoins, il est important de réfléchir aux avantages et aux inconvénients de chacune d’entre elles.
Aller vivre avec des camarades
Après leur première année d’études, la plupart des gens vont habiter avec des connaissances.
La majorité loue une maison, un condo ou un appartement, selon leur budget et les services publics qu’ils veulent voir compris dans le loyer. Souvent, des services comme le chauffage, l’eau et l’électricité sont facturés séparément du loyer. La connexion Internet fait aussi partie des frais qu’il faudra partager. Il est très important que chaque personne fixe dès le départ les limites de son budget.
Réfléchissez aussi à votre compatibilité avec vos camarades. Qui dit belle amitié ne dit pas forcément colocation harmonieuse. La cohabitation peut en effet mettre bien des amitiés à rude épreuve. D’où l’importance de définir des balises claires et d’ouvrir les voies de communication. Lindsay Farrugia, conseillère en transition au campus Okanagan de l’Université de la Colombie-Britannique, conseille aux étudiantes et étudiants de fixer clairement leurs limites. « Propre », par exemple, ne veut pas dire la même chose pour tout le monde.
Dans la course au logement, installez-vous vite sur la ligne de départ! Être le premier groupe à visiter un logement confère souvent une longue d’avance. Pour disposer de cet atout, choisissez vos colocataires tôt, et déterminez ensemble les critères auxquels répondrait votre cocon idéal. Pour un bail commençant le 1er mai, formez votre groupe en janvier, car les annonces font leur apparition dès février et disparaissent rapidement. Comme les modalités varient d’un endroit à l’autre, interrogez le forum Reddit pour savoir à quelle période sont signés la majorité des baux dans votre ville.
Devenir colocataire d’une personne que vous ne connaissez pas déjà
Avec Facebook Marketplace, cette option gagne en popularité auprès de la population étudiante.
Bien des gens deviennent aussi membres d’un groupe Facebook consacré au logement étudiant dans leur région. Les étudiantes et étudiants de Kingston, par exemple, peuvent adhérer à un groupe voué au logement hors campus à l’Université Queen’s. C’est un bon moyen de trouver des personnes qui cherchent elles aussi la parfaite ou le parfait colocataire.
Avant d’emménager, rencontrez-vous en personne pour valider votre compatibilité. Même si la chimie vous a semblé parfaite en ligne, vous pourriez constater, une fois que vous échangez en personne, que vos styles de vie sont en fait incompatibles.
L’un des avantages, quand on envisage la colocation avec une étrangère ou un étranger, c’est qu’on appréhende moins de régler d’emblée les questions difficiles qu’avec des proches. Dressez la liste des conditions de cohabitation auxquelles vous tenez le plus, et sondez la personne sur ces sujets. Il peut s’agir d’aspects comme la propreté, le bruit, les finances, la cuisine et l’épicerie ou le fait de recevoir des personnes. Comme le souligne Mme Farrugia, le contexte étant déjà quelque peu inusité, il ne faut pas hésiter à soulever ses préoccupations, pourvu qu’on le fasse de manière respectueuse.
Avant de signer un bail, visitez les lieux et rencontrez toutes les personnes appelées à devenir vos colocataires. S’il n’est pas essentiel de développer une grande amitié avec ses colocataires, compatibilité et bonne communication sont sans conteste des alliées.
Ayez aussi des attentes raisonnables à propos de l’expérience. Pour Harlan Cohen, chroniqueur et influenceur, cohabiter dans la paix et l’harmonie, c’est déjà beaucoup. Si en plus des liens d’amitié sont tissés, c’est tant mieux, mais ce n’était pas le but premier.
En définitive, fiez-vous à votre jugement et à votre intuition si vous choisissez la cohabitation avec une personne inconnue. S’il y a quelque chose qui cloche ou que vous notez un aspect préoccupant, mieux vaut passer et poursuivre vos recherches.
Louer votre propre logement
Si la cohabitation ne vous parle pas, vous pourriez envisager de louer votre propre logement.
Cette formule peut bien convenir aux personnes introverties ou à celles qui sont actives socialement, mais qui ont parfois besoin de s’éloigner du bourdonnement de la vie étudiante.
Pour cette option, l’aspect budgétaire est déterminant. Le loyer et les services publics peuvent représenter une somme considérable pour une seule personne. Il faut donc avoir une situation financière stable et avoir les moyens de tout payer. C’est le premier critère à remplir.
Autre aspect à prendre en considération : la sécurité. Gardez vos portes et vos fenêtres verrouillées en tout temps et envisagez l’ajout de dispositifs comme des chaînes de porte ou des serrures à pêne. Il peut être avisé de communiquer votre adresse à des proches, au cas où quelque chose arriverait.
L’avantage de louer son propre logement, c’est de n’avoir de comptes à rendre à personne. Vous faites ce que vous voulez, quand vous le voulez. Envie d’enfiler tous les épisodes d’une série télé à 3 h du matin? Pourquoi pas? Envie de recevoir quelques camarades? C’est vous qui décidez!
Cela dit, la solitude peut parfois peser sur le moral. Assurez-vous d’avoir quelques proches de confiance avec qui échanger régulièrement. Un nouveau loisir, adopter une plante ou un animal de compagnie peuvent aussi aider à chasser la grisaille.
Louer une chambre dans une maison
Peut-être qu’aucune des formules précédentes ne vous va et que la solution pour vous est de louer une chambre dans une maison. Vous pourriez devoir faire quelques sacrifices. Mais si vous restez dans les bonnes grâces des propriétaires et montrez votre disposition à donner un coup de pouce ici et là, vous pourriez préserver votre portefeuille et vous féliciter de votre sommeil réparateur.
Cette formule réunit souvent des personnes qui en sont à des stades différents de leur vie. Vous pourriez par exemple habiter avec un couple de personnes âgées ou dans le sous-sol d’une jeune famille. En pareille situation, il faut impérativement respecter les limites des propriétaires et faire peu de bruit, surtout si l’on n’a pas d’entrée privée. Agissez comme si vous étiez en visite; si tout va bien, vous profiterez en échange d’un cadre paisible et du sentiment d’être un peu « comme à la maison ».
Avant d’emménager, informez-vous des règles auprès des maîtres de lieux. Aurez-vous l’autorisation de recevoir des connaissances et, si oui, et à quelles conditions? À quel moment pourrez-vous monter le volume de votre liste d’écoute Spotify? Les propriétaires comprendront – du moins, on peut le penser – votre besoin d’avoir une certaine vie sociale. Néanmoins, il se pourrait que vous deviez gagner leur confiance avant de pouvoir recevoir des camarades toutes les semaines.
Assurez-vous aussi de vous sentir en sécurité dans la chambre proposée, et vérifiez qu’elle respecte la réglementation. Dans chaque province et chaque ville, des normes définissent précisément ce qui constitue une chambre à coucher (les critères concernent souvent les fenêtres et la superficie).
Enfin, demandez-vous si vous vous sentirez véritablement bien dans la chambre. Trouvez-vous les plafonds bas oppressants? Auriez-vous l’impression de vivre dans un placard? Après tout, cette pièce sera votre unique refuge, d’autant plus que vous vivrez chez des personnes qui pourraient ne pas tout comprendre du mode de vie étudiant.
Étudiantes et étudiants provenant de l’étranger :
Si vous provenez de l’étranger et que vous cherchez un endroit où loger, les quatre formules ci-dessus s’appliquent aussi à vous! Faites quand même quelques recherches additionnelles pour prendre le pouls du marché et vous faire une idée du juste niveau des loyers. La conseillère en transition Lindsay Farrugia vous suggère de consulter Place4Students pour avoir une idée des loyers dans votre ville. Il y a de bonnes chances que l’établissement que vous fréquenterez soit partenaire du site. Si vous ne trouvez pas votre logement de rêve sur ce site, Mme Farrugia suggère de parcourir les annonces respectant votre budget sur Facebook Marketplace et Kijiji.
Dans le même ordre d’idées, sachez quelle forme prend la convention de bail standard dans votre province. En Ontario, par exemple, il existe un bail standard prescrit par la loi. Vérifiez la forme standard du bail dans votre ville avant d’en signer un!
En effet, si votre bail contient une clause contredisant la loi, il sera techniquement sans effet. Mais si vous l’avez signé, vous devrez payer le loyer malgré l’existence d’une telle clause!
Résoudre un différend avec votre propriétaire peut demander du doigté, surtout si vous souhaitez que les rapports restent cordiaux. Mme Farrugia conseille aux étudiantes et étudiants d’utiliser toutes les ressources à leur disposition. Par exemple, l’association étudiante de l’Université de la Colombie-Britannique propose du soutien et des outils d’information au sujet de la location hors campus, et des services d’accompagnement semblables offerts par des étudiantes et étudiants en droit existent partout au pays.
Voici les principaux sites que consultent les étudiantes et étudiants à la recherche d’un logement :
Par Bianca McKeown et Olivia Grandy, Université Carleton, baccalauréat en journalisme 2025
C’est décidé, vous louerez bientôt votre premier logement? Avant de faire des visites et de signer un bail, il faut savoir un certain nombre de choses.
Choisissez bien vos colocataires
Dans un monde idéal, vous partiriez vivre avec des camarades et tout irait pour le mieux. Mais il n’en est pas toujours ainsi. Il est important de choisir ses colocataires avec soin. Votre ami qui écoute sa musique à tue-tête dans la cuisine à 2 h du matin n’est peut-être pas le colocataire idéal. Vous pensez avoir trouvé un ou une colocataire sur Facebook Marketplace? Avant de vous engager, apprenez-en le plus possible sur cette personne.
Dressez la liste des choses qui seraient pour vous des sujets de discorde, et sondez vos colocataires en devenir sur ces questions. Parmi les pommes de discorde les plus courantes, mentionnons la malpropreté, le bruit, le fait d’inviter beaucoup de gens chez soi et la mauvaise habitude d’« emprunter » des objets, puis de les garder pendant des mois. La définition de la propreté, en particulier, varie d’une personne à l’autre; avant d’emménager avec quelqu’un, fixez vos limites et vos attentes.
Faites une visite des lieux et posez beaucoup de questions
Avant de signer un bail, faites une visite des lieux. Dans chaque pièce, ouvrez l’œil, et prenez beaucoup de photos pour pouvoir vous y référer par la suite. L’endroit est-il en désordre? Sale? Y a-t-il des trous dans les murs? Des insectes?
Profitez de la visite pour poser beaucoup de questions. Les services publics sont-ils compris dans le loyer? Le voisinage est-il bruyant le soir ou la nuit? La locatrice ou le locateur procède-t-il aux réparations rapidement ou prend-il des mois à corriger les problèmes? Quelle est la raison du départ des locataires d’avant?
Un fort roulement des locataires peut être mauvais signe. Une question vous brûle les lèvres? Posez-la! Et si possible, parlez directement aux locataires pour vous renseigner sur leur expérience.
Signez un bail en bonne et due forme, et faites-vous aider de vos parents ou d’autres personnes de confiance Dans votre quête enthousiaste du parfait logement à partager, n’oubliez pas que, signer un bail, c’est conclure un accord juridique avec la locatrice ou le locateur. Vous avez donc tout intérêt à planifier cette démarche et à obtenir l’aide dont vous avez besoin.
D’abord et avant tout, vous devez comprendre le document que vous vous apprêtez à signer et être capable de vérifier qu’il est bien légal. Par exemple, vous devriez savoir comment se présente la convention de bail standard dans votre province. En Ontario, il existe un bail standard.
Si vous n’avez encore jamais loué de logement, n’hésitez pas à demander l’aide de personnes qui l’ont déjà fait. Vous venez de l’étranger? Faites appel à votre réseau canadien de connaissances et de conseillères et conseillers. Les universités canadiennes proposent également une foule de ressources utiles.
Mais par-dessus tout, si vos parents peuvent vous accompagner dans vos démarches, c’est le moment de leur demander leur aide. Que cela vous plaise ou non, ils ont sans doute plus d’expérience que vous en la matière, et ils pourraient déceler des problèmes qui vous échapperaient!
N’attendez pas à la dernière minute, mais ne précipitez rien non plus
Vous savez sans doute déjà que de nombreuses villes canadiennes sont aux prises avec de graves pénuries de logements. N’attendez donc pas à la dernière minute pour trouver le vôtre. Consultez les annonces quotidiennement et manifestez-vous rapidement si vous souhaitez visiter un logement.
Cela dit, il est important de ne pas signer un bail sous pression. Prenez un pas de recul, pesez les pour et les contre de l’endroit, et lisez le bail attentivement.
Si la locatrice ou le locateur continue d’exercer des pressions, exprimez votre intérêt pour le logement. Puis, dites-lui que vous souhaitez que votre relation repose sur de bonnes bases et que, pour cela, vous avez besoin d’un peu plus de temps pour lire le bail.
Préparer une demande de bourse d’études peut être stressant et pénible, et prendre beaucoup de temps. Catherine Nadeau, étudiante à l’Université d’Ottawa, a demandé conseil à des boursiers d’un peu partout au Canada pour savoir comment présenter une demande de bourse d’études efficace.
Transcription Texte sur l’écran : [5 conseils pour préparer une demande de bourse d’études]
Présenter une demande de bourse d’études peut être stressant et pénible. Universités Canada a demandé à des boursiers quels sont les clés du succès. Voici cinq conseils qui peuvent vous aider à préparer votre bourse d’études.
Premier conseil : soyez organisé. N’attendez pas à la dernière minute et évitez de passer une nuit blanche. Pensez à quels documents que vous auriez besoin dès le début et soumettez votre demande avant la date limite. Comme ça, s’il y a des petits problèmes, vous pouvez les régler au besoin.
Deuxième conseil : la même formule ne convient pas à tous. Lisez attentivement les critères de sélection et rédigez votre demande en fonction de ceux-ci. Ne faites pas de copier-coller d’une demande de formulaire à une autre et rédigez une lettre de présentation originale qui tient compte des exigences du programme.
Troisième conseil : choisissez une personne qui est capable de vous faire une bonne référence. Assurez-vous qu’elle comprenne bien les critères du programme. Envoyez-leur une liste avec les points importants pour les aider à rédiger votre lettre. N’attendez pas à la dernière minute. Donnez-leur assez de temps pour vous écrire une bonne recommandation.
Quatrième conseil : relisez-vous et faites-vous relire. Votre premier jet ne devrait pas être votre version finale. Si vous faites des fautes, ça nuit à votre crédibilité. Donc demandez à quelqu’un qui est fort en grammaire de relire votre demande.
Cinquième conseil : soyez unique, soyez vous-même. Les programmes de bourse d’études reçoivent des centaines, sinon des milliers de demandes. Heureusement, il n’y en a pas deux comme la vôtre. Pensez à vos réalisations et à vos expériences qui vous rendent unique et mettez-les en valeur dans votre demande de bourse. Vantez-vous un peu. C’est le temps de vous mettre en valeur.
Texte sur l’écran : [Consultez www.etudesuniversitaires.ca]
Texte sur l’écran : [Logo bilingue d’Universités Canada]
Texte sur l’écran : [Nos remerciements à la Carleton University]
