Bâtir son réseau de soutien à sa première année d’université

Par Études universitaires

Arriver à l’université, c’est débuter une aventure pleine de promesses, mais aussi parfois marquée de difficultés. Pour nombre de personnes – qu’elles soient du Canada ou d’ailleurs – cette période est synonyme d’une nouvelle indépendance, de défis scolaires et de grandes étapes de vie. Un réseau de soutien solide peut maximiser les chances d’une transition en douceur. Dans cet article, vous découvrirez les facteurs qui rendent ce réseau si précieux, des astuces pour le bâtir et les différentes ressources qui vous aideront à vous épanouir pendant votre première année universitaire au Canada.

L’importance du réseau de soutien

La première année universitaire en est une d’adaptation. Entre les nouvelles responsabilités, les rapports sociaux et les attentes scolaires, un bon réseau peut aider à naviguer les changements et être une source de soutien émotionnel, de conseils et d’astuces pratiques.

Ce qu’offre un réseau de soutien solide :

  • Une baisse du sentiment d’isolement : En vous entourant de pairs qui vous soutiennent, vous pouvez contrer le sentiment d’isolement que beaucoup ressentent en première année, surtout si vous avez quitté le nid familial ou déménagé dans un nouveau pays.
  • De l’aide avec les études : Vos pairs, vos professeures et professeurs, et le personnel de l’établissement peuvent vous soutenir dans vos travaux, vos techniques d’étude et votre gestion du temps.
  • Une source de bien-être : Le soutien émotionnel diminue grandement le stress, l’anxiété et le mal du pays, contribuant ainsi à une bonne santé mentale.
  • Des occasions de réseautage : Les rencontres que vous ferez pendant votre première année peuvent s’avérer le début d’amitiés durables ou mener à un emploi.

Nouvelles amitiés et rencontres

La première étape à suivre pour bâtir votre réseau est de rencontrer d’autres étudiantes et étudiants. Tout le monde est dans le même bateau – on cherche à nouer des amitiés et à s’adapter à son nouvel environnement de vie.

  • Joignez-vous à des clubs et des groupes étudiants : Les universités canadiennes proposent tout un éventail de clubs étudiants, qui vont des sociétés universitaires aux groupes basés sur des intérêts particuliers (sports, musique, implication sociale, etc.). En y participant, vous pourrez non seulement pratiquer vos activités de loisir, mais aussi rencontrer des personnes qui vous ressemblent.
  • Participez aux activités d’orientation : Les semaines d’orientation visent à aider les étudiantes et étudiants de première année à prendre leurs repères et à se rencontrer. Que vous participiez à des événements en personne ou à distance, il s’agit d’excellentes occasions de briser la glace et de rapidement faire de nouvelles rencontres.
  • Participez à des groupes d’étude : Les groupes d’étude – que vous vous joignez à un groupe existant ou que vous en créez un – sont une belle occasion de rencontrer vos camarades de classe, d’échanger des connaissances et de vous motiver mutuellement dans les études.

Si vous venez de l’étranger, il peut d’abord être intimidant de nouer de nouvelles amitiés, surtout lorsque la langue ou la culture diffère de la vôtre. Rappelez-vous que les campus canadiens sont très multiculturels, et que vous rencontrerez donc sûrement des gens avec le même bagage que vous.

Ressources universitaires

Les universités canadiennes vous offrent une panoplie de ressources pour vous accompagner sur les plans scolaire, social et émotionnel.

  • Conseillères et conseillers pédagogiques : Ces membres du personnel peuvent vous aider à choisir vos cours, à planifier votre parcours universitaire et à équilibrer votre charge de travail.
  • Services de soutien : De nombreuses universités offrent des services de soins de santé mentale gratuitement ou à faible coût. Quand l’épuisement, le mal du pays ou l’anxiété vous gagne, il peut être très bénéfique d’en parler avec une ou un spécialiste.
  • Programmes de mentorat par les pairs : Dans certaines universités, vous pouvez vous faire jumeler à une étudiante ou un étudiant des années supérieures qui vous conseillera quant aux études, à la vie sur le campus et aux ressources universitaires. Le mentorat peut être d’un grand soutien aux personnes de l’étranger en particulier, qui découvrent le système d’éducation canadien.
  • Services de santé et de bien-être : Des services de counselling en santé mentale aux programmes de conditionnement physique, l’offre des universités en matière de bien-être est vaste. Pour bien réussir dans vos études, vous devez garder la santé.

Si vous venez de l’étranger, vous pourriez aussi vous tourner vers le bureau des étudiantes et étudiants étrangers de votre établissement, qui pourrait vous proposer des ressources pour vous adapter à la vie au Canada, comme de l’accompagnement pour remplir les formulaires d’immigration, des conseils pour vous loger et des activités sociales.

Liens universitaires

Vous avez beaucoup à gagner en tissant des liens avec les personnes qui vous enseignent et les conseillères et conseillers pédagogiques de votre établissement.

  • Profitez des périodes de disponibilités : Les membres du corps professoral et les auxiliaires d’enseignement réservent souvent des plages horaires où vous pouvez les consulter à leur bureau à propos des cours ou des travaux à faire, ou leur demander de l’aide. Vous démontrez ainsi votre sérieux et votre motivation quant à vos études. Vous pourriez aussi nouer des liens durables qui pourraient mener à du mentorat.
  • Participez en classe : Participez aux discussions, posez des questions et assistez aux cours dirigés et aux séminaires pour nouer des liens avec les personnes qui vous enseignent et vos camarades de classe.

Vos liens universitaires ne vous aident pas seulement à obtenir de meilleures notes, ils vous donnent aussi plus de chances de participer à des travaux de recherche ou à des stages, ou d’obtenir des lettres de recommandation qui vous seront utiles au travail et à l’école.

Équilibre vie personnelle et sociale

La richesse d’un réseau de soutien ne se limite pas à son effet sur votre réussite universitaire – votre réseau vous permet aussi de garder un certain équilibre de vie.

  • Entretenez vos liens avec vos proches : Si vous déménagez loin pour l’université, ne laissez pas de côté vos anciennes amitiés et votre passé. Vous trouverez du réconfort et une stabilité, surtout lors de moments difficiles, en communiquant régulièrement avec vos proches.
  • Définissez vos limites : Il est bien sûr indispensable de faire de nouvelles rencontres et de participer à des activités, mais respectez vos capacités. Pensez à vous et gardez-vous suffisamment de temps pour vous reposer et vous ressourcer.
  • Trouvez une mentore ou un mentor hors de l’université : Les personnes de votre communauté, de votre famille ou dans votre profession visée peuvent vous aider à mettre les choses en perspective pendant vos études universitaires.

Adaptation aux différences culturelles (pour les étudiantes et étudiants étrangers)

Si vous venez de l’étranger, l’expérience universitaire peut être d’autant plus complexe que vous devez vous adapter à la culture locale, mais votre parcours peut aussi en être d’autant plus enrichi.

  • Célébrez la diversité culturelle : Les campus canadiens sont connus pour leur diversité culturelle. Profitez-en pour découvrir d’autres cultures et faire connaître la vôtre. Les échanges culturels vous permettront de nouer des amitiés profondes qui ouvriront vos horizons.
  • Trouvez les groupes d’étudiantes et étudiants étrangers : La plupart des universités canadiennes proposent des groupes spécifiquement pour les étudiantes et étudiants étrangers qui, bien souvent, organisent des activités sociales en plus d’offrir du soutien aux études et un endroit où parler votre langue et rencontrer d’autres personnes qui connaissent les défis propres aux études internationales.
  • Participez à des ateliers interculturels : Dans certaines universités, vous pourrez participer à des ateliers ou à des formations sur la communication interculturelle, ce qui peut vous être utile dans vos études ou votre vie personnelle.

Astuces pour entretenir votre réseau

Une fois votre réseau bâti, vous devez l’entretenir. Il faut s’investir pour nouer des liens solides, mais les bénéfices en valent la peine.

  • Allez de l’avant : Communiquez avec vos camarades de classe, vos colocataires ou les membres du corps professoral même si vous doutez de vous ou ressentez de la gêne. Tout le monde a un certain inconfort au début.
  • Offrez votre aide : Pour bâtir un réseau de soutien, on doit donner comme on reçoit. Lorsque vous proposez de l’aide aux autres, vous solidifiez vos liens et établissez une réciprocité.
  • Maintenez votre implication : Participez régulièrement aux activités sociales ainsi qu’aux rencontres de votre club ou de votre groupe d’étude. Avec le temps, la constance renforce les liens.

L’un des meilleurs gestes que vous pouvez poser pour maximiser vos chances d’une transition universitaire plaisante et en douceur est de bâtir votre réseau dès votre première année. Que vous veniez du Canada ou d’ailleurs, vous pourrez mieux faire face aux aléas de la vie universitaire en apprenant à connaître vos pairs, les membres du corps professoral et les ressources qui s’offrent à vous. N’oubliez pas que l’université n’est pas qu’une affaire d’études – c’est l’occasion de nouer des liens durables et de vous bâtir un réseau qui vous aidera à réussir dans votre parcours scolaire comme dans la vie.

En posant de petits gestes pour faire des rencontres, en demandant de l’aide et en gardant l’équilibre entre votre vie universitaire et votre vie personnelle, vous aurez un entourage solide qui pourra vous accompagner et grâce auquel vous pourrez profiter au maximum de l’expérience universitaire.

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Par Claire Hutcheon

Mon passage du secondaire à l’université a été une expérience surréaliste. Adieu à la routine scolaire quotidienne qui me maintenait sur la bonne voie et au revoir aux parents ou enseignantes et enseignants qui me rappelaient sans cesse de faire mes travaux et d’étudier pour mes examens. J’étais finalement une adulte, responsable de mes propres décisions et de ma gestion du temps, délivrée de toute structure, libérée.

Ce sentiment a duré environ un mois, jusqu’au jour où je me suis rendu compte d’un examen de mi-session que j’avais fini par oublier, après en avoir reporté la préparation à plusieurs reprises. J’ai raté l’examen et j’ai dû abandonner le cours, ce qui a été inscrit sur mon relevé de notes.

Qu’il s’agisse de répondre tardivement à un courriel, d’attendre à la dernière minute pour étudier avant un examen ou de retarder un travail, presque tout le monde s’est déjà retrouvé piégé dans le cycle familier du « je le ferai plus tard ».

L’entrée à l’université pourrait mener à votre première expérience avec la procrastination ; ou alors, vous en avez déjà l’habitude et vous connaissez très bien les difficultés qu’elle entraîne.

Malheureusement, la procrastination peut nuire à la réussite en engendrant une baisse des résultats aux examens, un ralentissement de l’avancement professionnel, une anxiété accrue et une diminution de l’estime de soi. Elle peut même vous empêcher de terminer vos études. Si l’idéal est de tuer la procrastination dans l’œuf, il faut à tout le moins savoir s’en sortir — et ça commence par comprendre la cause du problème.

La procrastination ne consiste pas seulement à reporter intentionnellement des tâches ; c’est un processus irrationnel qui se produit malgré les conséquences négatives, car il est gratifiant pour le cerveau.

Lorsque vous prenez une telle décision, la tension se dissipe, cédant la place à du plaisir initié par le mécanisme de récompenses de votre corps qui ne tient pas compte de la notion du temps.

Vous continuez alors à remettre votre travail au lendemain pour revivre ces « sensations agréables ». C’est ainsi que vous entrez dans un cercle vicieux jusqu’à la date limite. 

Une autre forme de procrastination consiste à accomplir les petites tâches sans grande importance. Par exemple, laver la vaisselle plutôt qu’étudier pour un examen final. Ainsi, vous évitez la tâche principale en vous distrayant avec quelque chose de productif, ce qui vous procure un sentiment de satisfaction.

C’est une souque à la corde avec la maîtrise de soi, tout comme lorsque vous grattez une croûte ou mangez au-delà de votre faim. Lorsqu’elle devient une habitude, la procrastination devient difficile à surmonter. D’où le dicton « les vieilles habitudes ont la vie dure ».

Alors, comment pouvez-vous tourner le dos à la procrastination ?

En toute honnêteté, je n’ai pas abandonné mes habitudes en claquant des doigts. Mais, après des années passées à apprendre ma leçon encore et encore, je me suis beaucoup améliorée et j’ai même élaboré quelques astuces sur lesquelles m’appuyer lorsque je sens que je perds la bataille.

Voici quelques façons de remettre au lendemain votre procrastination à l’université.

Avalez le crapaud

Comme l’a dit Mark Twain « si vous devez avaler un crapaud vivant, mieux vaut le faire le matin à la première heure et rien de pire ne pourra vous arriver pour le restant de la journée ». En d’autres mots, si vous vous attaquez à la tâche la plus importante de la journée avant tout le reste, vous vaincrez la tentation de procrastiner.

Certes, vous devrez adapter vos matinées pour avaler votre crapaud, mais il s’agit d’un moyen efficace de commencer la journée du bon pied et d’éviter d’accorder la priorité aux petites tâches plutôt qu’aux plus ardues et importantes.

Ou encore, ne faites rien !

Je sais que cela peut paraître tout sauf productif. Ne devrais-je pas dire « entamez simplement votre tâche » ? Cependant, la plupart des personnes qui procrastinent ne sont pas paresseuses, elles accomplissent simplement des choses moins importantes et qui procurent une satisfaction plus immédiate, afin d’éviter les tâches plus importantes et anxiogènes.

La méthode « ou encore, ne faites rien » consiste à réserver une certaine plage horaire dans la journée pour travailler, disons 90 minutes. Vous n’avez pas à travailler sur votre grosse tâche effrayante pendant cette période, mais vous ne pouvez rien faire d’autre. Interdiction de vous distraire avec votre téléphone, de dormir, de ranger votre chambre ou de faire la vaisselle. Vous devez simplement vous asseoir et ne rien faire.

Éventuellement, vous commencerez doucement à travailler et, lorsque vous sentirez que votre esprit part à la dérive, arrêtez-vous et fixez le mur. Ne rien faire vous donnera l’impression de prendre une pause, sans que cela soit suffisant pour vous distraire.

Planifiez votre journée avant même qu’elle ne commence

Le fait de planifier sa journée au réveil peut être chronophage et réduire le temps dont on dispose pour travailler. En le faisant la veille, vous réduirez le nombre de décisions à prendre sur-le-champ. Ainsi, vous commencerez votre journée avec un sentiment d’accomplissement et en sachant déjà ce que vous avez à faire en premier.

Faites une liste, puis réduisez-la de moitié

Il est facile de se laisser absorber par des tâches moins importantes lorsqu’on est en train de procrastiner ou à deux doigts de le faire. Le simple fait d’avoir trop de choses à faire dans une journée peut être accablant et vous pousser à la procrastination. 

Lorsque vous dressez votre liste de choses à faire, écrivez tout ce qui vous vient à l’esprit. Ensuite, rayez les tâches les moins importantes et les moins urgentes pour ne laisser que celles qui doivent absolument être accomplies.

Ainsi, vous pourrez mieux vous concentrer et serez moins susceptible de vous laisser distraire par le travail peu important, mais gratifiant.

Adaptez votre environnement

Ma tendance à la procrastination me crée également de l’anxiété de ratage et de grandes insécurités. Lorsqu’un travail me rend à bout de nerfs, mon réflexe initial est de sortir de chez moi. Je trouve qu’il y a beaucoup trop de distractions lorsque j’essaie de travailler dans ma chambre ou à la table à manger, surtout en l’absence d’une personne qui me reprocherait de ne pas travailler.

Lorsque je vais dans un café ou à la bibliothèque, je transforme mes propres insécurités en alliées, et me mets au travail par peur d’être jugée. La pression sociale que je ressens quand je suis entourée de personnes productives fait des merveilles pour moi.

Si le bruit et les mouvements incessants vous empêchent de travailler dans un endroit public, cherchez un endroit calme où vous pourrez vous asseoir et vous concentrer. Éliminez toutes les distractions et mettez tous vos appareils en mode « Ne pas déranger ». Il faut parfois se mettre dans une bulle pour pouvoir se concentrer sur son travail.

Pour bon nombre de personnes, la procrastination est une lutte constante, en particulier à l’université, où ces nouveaux sentiments de liberté et d’indépendance peuvent rapidement entraîner des retards et du stress. Je suis encore aux prises avec la procrastination, mais grâce à l’autoréflexion et aux stratégies que j’ai adoptées, j’ai pris le contrôle de ma vie et vous pouvez en faire autant.

Gagner le combat contre la procrastination n’est pas chose facile, et même en suivant ces conseils, la réussite n’est pas garantie. Toutefois, ils permettent de trouver de la motivation et de favoriser la maîtrise de soi tout au long de son parcours universitaire. Faire le premier pas n’est jamais aisé, mais la constance est essentielle. Adoptez donc ces outils et n’oubliez pas qu’il s’agit d’une quête de l’amélioration, et non de la perfection. Vous y arriverez !

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